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**MESSAGES** : 17 **CELEBRITE** : Leighton Meester.

Citation :: WESTWICKS/TUMBLR
Gaïa Mitchell.
~

~ love is our

Age: Vint-quatre ans.
Date & lieu de naissance: le treize octobre, à Dublin.
Occupation: Infirmière.
Groupe: Girlies (je crois que c'est bien ça

)
Célébrité: Leighton Meester.

~ tired of being sorry

Recours à la chirurgie Sous médicaments Lire le journal tous les jours Aspect critique Tendance à être au dernier cri	Aspiration à la famille Aspiration à l'amour Aspiration à la popularité Caractère généreux Personnalité ouverte
Insensible officiellement Volonté de s'inquiéter Attiré par ce qui brille Vivre au jour le jour Procrastinateur	Attirance par le physique Aime le jeu Humour limite noir Tendance à plomber qqn Difficulté à compatir

~ they are here for you

voir post ci-dessous.

~ addict to you

Pseudo: Snowrivers.
Prénom: Olivia.
Où avez-vous connu le forum: Grâce à Romane, bien sûr. Elle me parle de ce forum depuis quelques temps déjà.
Avis/idées/suggestions sur le forum: Je trouve qu'il est vraiment parfait. Et mon dieu, le design est vraiment à tomber quoi.
Autre(s): Merci les filles de me permettre de m'inscrire avant. Je ne le regrette absolument pas. terrible love terminée) 1869174067

**MESSAGES** : 17 **CELEBRITE** : Leighton Meester.

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Give a little time to me. We'll burn
this out, we'll play hide and seek to
turn this around and all I want
is the taste that your lips allow.
ED SHEERAN ~ GIVE ME LOVE.

« Tu veux dire que c’est terminé, que je n’ai pas le choix. Parce que tu l’as décidé, on doit juste se séparer et tourner la page. » Gaïa baissa la tête un instant avant de prendre les mains d’Anton comme pour lui démontrer qu’il n’était pas forcé de se mettre en colère. Certes, elle avait pris cette décision sans lui en parler au préalable, mais elle parlait simplement de faire une pause dans leur relation. Suite au décès récent de sa mère, elle n’était plus capable d’entretenir quelque chose de stable sans se demander sans cesse si elle prend la bonne décision. Effectivement, elle ne voulait pas suivre l’exemple de celle qui lui a donné la vie, celle qui n’a jamais su être heureuse avec aucun homme et qui avait fait en sorte qu’elle ne rencontre jamais son paternel. Bien sûr, Gaïa avait toujours respecté son choix, mais il lui était aussi arrivé d’y penser et de s’interroger sur les véritables raisons de son silence ; était-ce un homme marié, un adolescent de passage dans sa vie ou bien un accident ? Dans tous les cas, elle était certaine que cette décision était la bonne, qu’elle le faisait uniquement pour le bien de sa fille et non pas pour soulager sa conscience. Au moins, elle était partie avec l’esprit tranquille. « Je t’aime, vraiment. Je ne te mentirais jamais sur ça mais j’ai juste besoin de temps pour faire mon deuil et je ne veux pas que tu souffres pour moi, que tu me prennes en pitié. Quand je serais prête, je reviendrais. Alors s’il te plait, attends-moi. » Il lâcha un léger soupir, suivit d’un petit sourire en coin qui lui laissait entrevoir une porte de sortie ou tout simplement une sortie de secours. Elle l’aimait d’un amour sincère, plusieurs fois Gaïa s’était répété qu’elle passerait probablement le reste de sa vie à ses côtés. Depuis le lycée, depuis qu’ils étaient adolescents. « Je t’attendrais mais toi, ne m’oublie jamais. »

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Il n’y avait plus une seule image de son passé, ni même un souvenir ou quelque chose qui aurait pu lui faire rappeler qui elle était il y a encore un mois. Cette technique était de toute évidence fonctionnelle, à ne pas en douter. Depuis donc, elle y travaillait en conseillant chaque patient, en leur répétant que s’ils avaient quelque chose à oublier, c’était la seule solution. Beaucoup parlent du temps, prétendant que tout finira par guérir mais si Gaïa a bien appris une chose c’est que ce dernier ne fait que cicatriser les plaies ; et dans tous les cas, les blessures sont toujours là, cachées sous une carapace qui peut s’entrouvrir n’importe quand. C’est ce dont elle avait peur, le pourquoi elle avait décidé d’effacer une partie de sa mémoire. Depuis la mort de sa mère, elle n’était plus capable de contrôler ses sentiments, ni même de prétendre à une vie plus tranquille. La peur constante de la décevoir avait fini par la rendre folle. Elle avait aussi coupé les ponts avec Anton, refusant alors de le voir, de l’entendre ou bien de penser à lui. Combien de jours, de semaines était-elle restée dans le noir, dans son lit, à attendre qu’on vienne lui arracher les entrailles ? Le pire, dans tout cela, c’est qu’elle ne savait pas pourquoi elle se comportait ainsi. Pourquoi avait-elle été autant secouée par la mort de sa mère ? Elle aurait dû s’en remettre, la douleur aurait du s’apaise mais rien à faire. Elle avait tout perdu, son seul repère, sa bouée de sauvetage quand les choses ne tournaient plus rond et chacun de ses sourires étaient le parfait reflet de ceux de sa mère. Puis, quand elle est partie, elle n’a pas été capable de s’en remettre, prenant dès lors l’habitude de pleurer au lieu de rire et de détester au lieu d’aimer. Gaïa se détestait, ni plus ni moins. Mais pourquoi tu as fais ça.

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I told you to be patient I told you to be fine,
I told you to be balanced I told you to be kind,
In the morning I'll be with you but it will be
a different kind. I'll be holding all the tickets
and you'll be owning all the fines.
.BIRDY ~ SKINNY LOVE.

Son visage lui disait vaguement quelque chose. Il y a toujours cette impression de déjà vu sur certains visages, comme si leurs traits nous étaient plus ou moins familiers. C’est cette sensation que la jeune femme avait à chaque fois qu’elle allait à la bibliothèque mais elle était tout à fait incapable de se rappeler où et pourquoi elle se souvenait de lui. Du coup, elle passait le plus clair de son temps à le regarder, à chercher, à trier dans sa mémoire pour se souvenir de quelque chose. Elle pouvait décrire cet homme à n’importe qui, avec certaines précisions ; il était brun, les yeux noisettes, lisait constamment les mêmes livres et il lui arrivait aussi de gribouiller quelques mots sur une feuille de papier. Un jour, il était là et semblait être dans ses pensées, dans son passé peut-être, à la recherche de quelque chose qu’il aurait aussi perdu. Plusieurs fois, également, son regard s’était relevé vers Gaïa, souriant mais aussi mystérieux. Il cachait quelque chose et cela ne faisait que renforcer ce sentiment de déjà vu chez la jeune femme. Pourtant, et alors qu’elle pensait qu’elle trouverait le courage de lui toucher un mot sur son identité, elle repartait toujours bredouille, sans aucune réponse à ses questions. Il y a un jour, cependant, un jour plutôt pluvieux et froid où c’est lui qui est venu l’aborder. Elle avait pris la route pour rejoindre son appartement. Une petite ruelle où personne n’avait pour habitude de passer. Pas une seule seconde elle n’a douté de ses bonnes intentions et par conséquence, n’avait pas cherché à prendre la fuite. « Gaïa ? » Elle arqua soudainement les sourcils. Maintenant, elle en était sûre ; tous les deux se connaissaient. Par contre, elle ne trouve pas le courage de dire quoi que ce soit, un peu étonné qu’il soit au courant de son identité tandis que de son côté, elle ne l’est pas. « Ca fait longtemps, mais c’est bien toi ? » Il se rapprocha d’elle et n’étant qu’à quelques pas d’elle, Gaïa se recula automatiquement. Ne pipant mot, il continua mais parût changer d’humeur. « Qu’est-ce que tu as fais ? » Une fois encore, elle s’interrogea, se demandant où il voulait en venir au juste. « Pardon, mais je ne comprends pas. Vous êtes quelqu’un dont je suis censée me souvenir ? » Il lâcha un rire nerveux, marcha quelques instants avant de se retourner à nouveau face à elle, fou de rage. « Qu’est-ce que tu as fais Gaïa ? Tu devrais te souvenir, tu dois te souvenir de moi. Je suis Anton, celui à qui tu as demandé d’attendre. Mais qu’est-ce que tu as fais, bon sang, dis-le moi. » Ses propos sonnaient comme incompréhensibles pour la jeune femme et d’ailleurs, elle commençait à avoir légèrement peur. « J’étais plutôt certaine de vous connaître mais je crois que ce n’est plus le cas. » Habituellement, elle ne fréquentait pas des personnes qui changeaient d’humeur aussi rapidement, qui se mettaient en colère contre de parfaits inconnus. Quoiqu’apparemment, elle ne lui est pas si étrangère que ça. « D’accord, ce n’est pas grave. Si l’amour n’est pas capable de te faire recouvrer la mémoire, peut-être que l’absence y parviendra. Tu aurais dû m’appeler, je t’aurais aidé, soutenu. » Il savait, sans aucun doute, qu’elle avait eu recours à cette méthode. Mais aujourd’hui, elle n’était plus capable de se souvenir pourquoi elle en avait eu besoin, au juste. Sans doute parce qu’à une certaine période de son existence, les évènements avaient pris une tournure plutôt étrange. « Franchement, je ne comprends pas. Ta mère est morte, ce n’est pas quelque chose que tu peux changer, pas même en effaçant un bout de ton histoire. Elle ne reviendra pas, c’est la réalité des choses et tu devrais y faire face au lieu d’être lâche, de faire comme si tu n’étais pas capable de ressentir à nouveau ce sentiment. Il y a des personnes qui n’ont jamais cessé de t’aimer, de t’attendre et de t’espérer. Crois-moi, je fais partie de ces gens-là. Tu as disparu … » Ca en était trop pour elle. Gaïa tourna les talons, très rapidement, en courant même pour regagner rapidement son appartement. Ce pseudo Anton la suivit jusqu’à celui-ci et au moment où elle ferme la porte, elle l’entend dire encore. « Il y a des choses qui te reviendront en tête, que tu le veuilles ou non. Les sentiments ne s’éteignent jamais, ils reviennent et te font encore souffrir. » Puis un silence s’installa, réalisant quelques minutes après qu’il n’était sans doute plus là. Une fois encore, elle avait une impression, différente cependant.

~~(eh mad'moiselle t'es charmante ça t'dirait une glace à la menthe ?)~~
LA FEMME DE MA VIE, MY SOULMATE, MON PETIT MONKEY.
Je te vénère meuf, t'es trop magnifique avec Leighton, c'est fou. Je t'aime comme Lara Fabian (TMTC ).
Bienvenue belle demoiselle ~~(recherche un mec mortel)~~, puis heureuse de te voir là avant l'heure.

**MESSAGES** : 17 **CELEBRITE** : Leighton Meester.

Merci ma petite femme, tu es vraiment la meilleure pour ce qui est de l'acceuil. J'aurais pas mieux fais, c'est sûr. Je sus contente que tu aies pu avoir Nina cette fois (TMTC) et elle te va si bien. Je suis sûre que c'est un personnage qui déchire en plus de ça, comma d'habite.
Et moi aussi je t'aime comme Lara Fabian. T'es mon âme soeur, ma lumière quand il fait noir, un battement de coeur.
Et je suis heureuse d'être là également. Votre forum est vraiment trop magnifique.
PUIS TU JOUE LIZZIE.

NON MAIS SI TU AURAIS FAIT AUTANT, parce que rien qu'un message de toi, et mon coeur s'illumine. Ouais, Nina et Lizzie, que veux-tu, mes deux princesses, je suis heureuse comme pas possible. Ton personnage va tout déchirer aussi. Avec ton Dair là.
OH ARRETE, tu vas me faire verser une petite larme. Notre amour est tellement beau, c'est incomparable.
(ET AU FAIT, j'avais pas vu, enfin si mais j'avais pas mentionné, Birdyyyyyyyyyy en titre, cette chanson trop magnifique. Et j'aime trop le début de ton histoire, c'est triste. )

OLIVIA/LEIGHTON terrible love terminée) 556403049

Bienvenue

» (BET') But why i love you i never know
» ∫ GIVE ME LOVE LIKE NEVER BEFORE.

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